J’ai organisé les invocations en fonction des jours de la semaine, afin que l’adorateur manifeste continuellement sa dépendance et son besoin de Dieu en L’invoquant humblement, avec crainte et en secret, conformément à ce verset : « N’est-ce pas Lui qui exauce le malheureux qui L’invoque ? » (Sourate 27, verset 62). J’ai débuté cet ouvrage par un chapitre sur les mérites de la mention de Dieu et des sourates du Coran, suivi du mérite de la prière sur le Prophète (que Dieu prie sur lui et le salue), pour purifier le cœur et le guérir de ses maladies.

Ainsi, celui qui invoque Dieu se prépare à recevoir la lumière divine qui pénètre dans son cœur et l’ouvre. L’adorateur pourra alors ressentir les premiers signes de la miséricorde, comme un parfum agréable émanant de sa bouche lors de l’invocation, ou même invoquer Dieu par son cœur si sa langue est hésitante. Bienheureux est celui à qui Dieu accorde la grâce de L’invoquer, car son invocation sera exaucée.