Pour pallier les insuffisances dans l’enseignement de l’histoire, Max Vintéjoux s’est engagé à rapprocher ses amis arabes de ses amis français, en favorisant une meilleure compréhension mutuelle.

Son ouvrage, Le Miracle arabe, a été salué par Louis Massignon, qui le décrivit comme un cri adressé aux peuples arabes, les exhortant à tenir bon face à une propagande assourdissante. Celle-ci les incitait à renier leur honneur, leurs traditions et l’héritage de leurs ancêtres, et à capituler devant la force colonialiste et l’influence des capitaux étrangers. Massignon dénonçait cette « fausse civilisation de robots » qui, ayant perdu foi en elle-même et en Dieu, aspire à soumettre l’univers à ses principes désincarnés.